lundi 23 novembre 2015

La morsure n'est pas une fin _ Les vampires de Chicago, T11



On retrouve avec bonheur Ethan et Merit à la suite de la réception de cette carte
L'initiale B. signifiant Balthazar, le créateur d'Ethan. Mais un problème à la fois, ça serait trop facile pour notre duo de choc. Ils se retrouvent donc, en prime, au milieu d'un règlement de comptes entre la mafia humaine et la maison Navarre, sans oublier la "construction" de l'Assemblée des Maîtres d'Amérique (A.M.A). Autant dire qu'ils ont, une fois de plus, du pain sur la planche.
Au niveau des personnages, on retrouve presque tous les personnages sauf les métamorphes (seuls Jeff et Nick apparaissent, et encore, j'ai trouvé Jeff très sage).

On y retrouve également Joshua, le père de Merit. Il se retrouve cependant dans une position plus humble, plus paternel. Mais, pour moi, il ne restera pas longtemps dans cet état d'esprit.
Et enfin, la maison Navarre... c'est encore une fois par la faute de Celina (même en cendres, elle n'en finit pas) qu'Ethan et Merit se retrouve dans la mouise.
Je dois dire que la fin, bien que très touchante, m'a un peu frustrée. L'action est présente de bout en bout. De plus, plusieurs passages m'ont bien fait rire et j'ai apprécié la discussion entre Jonah et Ethan (celle entre Ethan et Morgan m'a fait éclater de rire par contre). J'ai aussi adoré les combats de Merit en robe de soirée... franchement... la classe.

En bref, l'action est très présente. La romance l'est également (même si ça manque un peu de moments tendres entre Ethan et Merit). Quant à l'humour, il est très présent lui aussi. Ce qui nous donne un cocktail magique et merveilleux.


Vous pouvez également retrouver ma chronique en vidéo, ici :


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